Les types d'ordre et leur contenu commercial
prévus à cet effet à partir du protocole EBICS permettent une validation basée
sur le total des données disponibles - via la note d'accompagnement - ou sur la
base des données de paiement du contenu. À cette fin, les serveurs EBICS fournissent
les informations très importantes pour chacun des paiements uniques contenus
déjà sous format préétabli. Un système client qui doit afficher ces données ne
doit même pas connaître le format de paiement spécifique. C'est ce qui rend le
logiciel si pratique. Exceptionnellement, même un dossier de paiement complet
peut être transmis. Cependant, quand il est question des paiements de masse, la
facilité décrite ci-dessus n’est plus d’actualité.
Dans la pratique des paiements, non seulement
les paiements simples et les prélèvements sont inclus dans le dossier de signatures
électroniques, mais les paiements spéciaux contenant des données très personnelles
qui nécessitent une protection spéciale doivent également être inclus. Cela
comprend les pensions et les salaires ainsi que les primes et gratifications
qui ne sont pas destinées au grand public et certainement pas destinée à la
libre consultation des salariés dans l’entreprise.
C'est surtout ici que la spécification EBICS
montre ses limites : Il manque le GVC ou Code (Purpose), qui spécifie le
type de paiement, si les paiements unitaires sont transférés. Les produits
EBICS utilisés par le client ne sont pas aptes à protéger les données
confidentielles dans un ordre de paiement, même si les entreprises le
souhaitaient. Le logiciel n'a pas de critère pour décider si les détails du
paiement doivent être affichés ou masqués.
Sans identifiant dans l'ordre de paiement
spécifique, il n'est pas possible de distinguer les paiements confidentiels des
paiements normaux. Cela signifie que la VEU n'est en principe pas apte à
vérifier et à effectuer les paiements de salaire par VEU, car il ne peut être
exclu que des employés non autorisés jettent un coup d'œil aux informations
strictement confidentielles.
La société EBICS devrait donc envisager une
extension du XML pour le HVT, qui transmettra également ces informations
importantes concernant le type de paiement. Tant que cela ne se produit pas, la
VEU ne peut être utilisée pour les paiements de salaire que dans une mesure
limitée.
Auteur : Michael Schunk
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